Other precision in Le SoleilI will translate, the information that is not in their news release of October 16:
The president says that they had a 37 degree deviation. A situation that could cause the rods to break and would complicate their recuperation.
The president beleives that the sedimentary zone of Paspébiac is around 3000 meteres or more. If that is the case, they would have to plan for a more muscular intervention. Around 10 to 20 millions are needed to go to these depth. They would have to associate themself with a bigger player or do they will have to do thir own financement.
The production test will give Junex more elements of decision for the administrator of Junex this winter. In introducing a empty rod in the hole drilled by Junex, Baker Oil will be able to measure the pressure which will permit to evaluate if a sufficient quantity is susceptible to be refined.
A too low pressure will not mean the end of the Paspébiac well since there is other way to determine it's potential. Baker Oil works at Paspébiac amount to $150,000 which represents 10% of what Junex has invested at this site in 2007.
Le mercredi 17 octobre 2007
Junex découvre du pétrole à Paspébiac
Gilles Gagné
Le Soleil
Collaboration spéciale
Paspébiac
Deux semaines après avoir trouvé du gaz, la firme Junex a découvert du pétrole à son puits de Paspébiac, en Gaspésie. Il s’agit de la première découverte d’hydrocarbures dans le bassin de la baie des Chaleurs.
Alors que le gaz avait été localisé à une profondeur de 1395 mètres, le pétrole brut léger a été vu alors que la foreuse atteignait 1630 mètres. Il y en avait encore à 1800 mètres. Sa présence est suffisante pour que Junex demande à une firme du Texas ayant une filiale à Calgary, Baker Oil Tools, d’effectuer des essais de production pour vérifier si le puits peut fournir un débit commercial.
« Ça signifie que notre modèle (géologique) tient à route. À 1800 mètres, nous étions encore dans les sédiments, c’est-à-dire le type de roches poreuses qui forment un réservoir d’hydrocarbures », signale le président de Junex, Jean-Yves Lavoie, agréablement surpris de voir qu’un premier forage dans la formation de la baie des Chaleurs donne des résultats positifs.
Junex a stoppé son forage de Paspébiac à 1800 mètres parce que l’axe des tiges de métal enfoncées dans le sol présentait une déviation de 37 degrés, une situation pouvant occasionner un bris de ces tiges et compliquer leur récupération.
M. Lavoie croit que la zone sédimentaire de Paspébiac présente une profondeur de 3000 mètres, peut-être plus. « Si c’est le cas, il faudra planifier un programme d’intervention plus musclé; ça prend des sous, entre 10 millions et 20 millions $ pour aller à ces profondeurs. Il faudra décider entre s’associer à un joueur plus gros ou amasser le finanement nous-même », dit-il.
Les essais de production procureront d’autres éléments de décision pour les administrateurs de Junex au cours de l’hiver. En introduisant des tiges vides dans le puits foré depuis juillet par Junex, Baker Oil se livrera à des mesures de pression afin d’évaluer si le gisement peut fournir bientôt une quantité susceptible d’être raffinée.
Une pression trop faible ne sonnerait pas le glas du puits de Paspébiac puisqu’il reste d’autres façons d’évaluer son potentiel. Les travaux de Baker Oil s’élèvent à 150 000 $, environ 10 % de ce qu’a investi Junex à cet endroit en 2007.