JUST GOT IN AGAIN...CHECK WHYGastem, comme la plus part des compagnies juniors d’exploration, se finance en émettant des actions sur le marché publique. Ces actions sont pour la grande majorité vendues en bloc à des institutions financières qui croient dans les projets d’exploration de la compagnie ou en un projet en particulier. Depuis 2008, Gastem s’est financée en vendant le potentiel élevé des shales de l’Utica au Québec. Même si nous avons d’autres projets très intéressants, le marché n’avait de yeux que pour le développement des shales gaziers et les shale de l’Utica en était l’un d’eux. Maintenant, les trois dernières années, le développement de l’Utica au Québec a été plus long et plus difficile que prévu, essentiellement pour des problèmes d’acceptabilité sociale. Certains de nos actionnaires ont donc perdu patience en attendant la confirmation du potentiel de l’Utica. On a vu la valeur de notre action diminuer tranquillement de l’été 2008 jusqu’au début 2011. Nous avons tenter d’exposer au marché que nous avions d’autres projets très intéressants mais notre bas d’actionnaire était dans Gastem essentiellement pour les shales de l’Utica. En mars dernier, le gouvernement du Québec a annoncé qu’il était pour entreprendre une Étude Environnementale Stratégique, ce qui conséquemment retarderait le développement des shales de l’Utica au Québec pour 2 ans, Gastem a immédiatement perdu 20% en une journé. Depuis lors nous évoluons entre
,15 et
,20.
Ceci étant dit, pour Gastem la vie continue. Nous avons tourné le coin, nous retournerons développer l’Utica quand nous aurons l’autorisation du gouvernement et ce sera une bonne nouvelle pour nos actionnaires. Entretemps, nous avons d’autres bon projets et nous sommes à évaluer d’autres opportunités très intéressantes aux États-Unis et dans les Maritimes.
Historiquement, la valeur de l’action de Gastem a fluctué suivant le prix du gaz naturel (sur lequel nous n’avons pas de contrôle) et suivant les résultats de nos campagnes d’exploration (sur lesquelles nous avons le contrôle). C’est pourquoi Gastem se concentrera à trouver les meilleures opportunités pour créer de la valeur pour ses actionnaires en mettant en place de bons programmes d’exploration et en les vendant au marché. Nous avons un bon portefeuille de propriétés et nous somme bien positionnés à l’extérieur des shales de l’Utica au Québec.
Au Québec, Gastem désire forer son premier puits aux Îles-de-la-Madeleine cette année. Les Îles-de-la-Madeleine est un permis d’exploration qui possède énormément de potentiel étant donné sa géologie propre semblable à celle de Sable Island en Nouvelle-Écosse.
De plus, Gastem est présentement à mettre en place sont programme d’exploration pour l’État de New York et des discussion avec les populations locales ont déjà commencées. Gastem prévoit forer 2 ou 3 puits initiaux pour tester le potentiel de production et tenter de connecter la dite production à un réseau local dans le comté de Otsego. Nous sommes aussi à regarder la possibilité d’acquérir un projet dans le sud des États-Unis.
Finalement, Gastem est à étudier le potentiel de développement des provinces Maritimes. Nous évaluons les opportunités et sommes déjà en pourparler avec des entreprises d’exploration déjà présente dans la région.
Même si le développement des shales de l’Utica dans les Basses-Terres au Québec a été ralenti, Gastem va de l’avant dans sa mission de créer de la valeur pour ses actionnaire. De plus, il n’est pas dit que Gastem ne participera pas à l’étude de développement de l’Utica dans les Basses-Terres avec des fracturations cette année ou l’année prochaine. Nous sommes présentement à attendre les directive du Gouvernement avant de prendre une décision.
Salutations,
David Vincent, M.Sc., M.B.A.
Director, Investor Relations
Gastem
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