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Medicago Inc MDCGF



GREY:MDCGF - Post by User

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Post by Jentaion Aug 26, 2010 10:52pm
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Post# 17388347

a very interesting and informative article about M

a very interesting and informative article about Mhttps://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201008/25/01-4309836-lirresistible-poussee-de-croissance-de-medicago.php?ut
This article was published in Today's edition of le Journal le Soleil, section des affaires - written by Gilbert  Leduc

(Québec) De la même famille que le tabac, la Nicotiana benthamiana, cette plante venue de l'Australie, est en train de propulser Medicago vers les plus hauts sommets.
«Nous allons devenir des compétiteurs directs des grands fabricants mondiaux de vaccins», prédit Louis-Philippe Vézina, vice-président et chef de la direction scientifique de Medicago dont il est également l'un des cofondateurs.
Alors que les biotechs grattent les fonds de tiroirs, la compagnie de Québec accumule les subventions. Il y a une quinzaine de jours, elle décrochait une subvention de 21 millions $ du département de la Défense américaine pour la construction d'une usine de fabrication de vaccins en Caroline du Nord.
Mercredi, c'était au tour de la députée fédérale de Beauport-Limoilou, Sylvie Boucher, d'annoncer l'octroi d'une subvention de près de 280 000 $ à Medicago. De l'argent venant des goussets du Programme d'aide à la recherche industrielle du Conseil national de recherches du Canada.
Même sur les marchés financiers, Medicago fait un tabac. C'est sans trop de difficulté que l'entreprise a réalisé un financement de 7,5 millions $ qui va lui permettre de faire sa part dans la construction de son usine en Caroline du Nord, un projet totalisant 42 millions $.
Pour le président et chef de la direction de Medicago, Andy Sheldon, le vent a commencé à tourner à la fin de l'année dernière. Les résultats positifs des essais de phase 1 sur des humains de son vaccin contre la grippe H5N1 ont fait écarquiller les yeux des responsables de la santé publique et des investisseurs du monde entier.
«Depuis ce moment, nous gérons une croissance constante», a souligné M. Sheldon, qui n'est pas peu fier de signaler que Medicago était la seule entreprise étrangère à avoir reçu des billets verts du département de la Défense américaine dans le cadre de son programme d'aide aux biotechs.
À l'automne, Medicago entreprendra des travaux de phase 2 de son vaccin sur un plus grand nombre de candidats. Les premiers résultats devaient être connus d'ici à la fin de 2010. S'ils sont positifs, les résultats auront l'effet d'un autre coup de canon pour Medicago et ses 90 employés.
5 à 10 millions de doses par mois
Pour produire des vaccins, les compagnies ont traditionnellement recours à des oeufs dans lesquels les scientifiques injectent un virus. Il faudra au moins six mois avant qu'une première dose du vaccin sorte des laboratoires.
Par sa technologie protégée par près de 200 brevets et grâce à l'utilisation des feuilles de laNicotiana benthamiana, Medicago en arrive à produire un vaccin efficace et abordable en un peu moins d'un mois.
Tout ce dont l'entreprise a besoin pour mettre le processus de fabrication en marche, c'est le code génétique du virus.
À partir de l'information génétique, des gènes synthétisés sont produits. Les plantes en seront infectées. Elles seront ensuite incubées pendant de quatre à six jours. Les plantes seront finalement récoltées pour en extraire les particules pseudo-virales qui, en bout de piste, seront purifiées de manière à produire un vaccin.
Dans ses installations de Québec, Medicago infiltre environ 1000 plantes par jour. Dans sa future usine en Caroline du Nord, le rythme pourrait atteindre 15 000 plants par jour, explique M. Vézina.
«Nous allons automatiser la majeure partie de nos opérations. Ça va nous permettre de produire entre 5 et 10 millions de doses par mois.»
Selon les dirigeants de Medicago, il sera possible d'implanter des usines du même acabit dans plusieurs pays qui, comme nos voisins du sud, tiennent à se doter sur leur territoire d'installations qui seront en mesure de fabriquer rapidement des vaccins pour affronter les pandémies de grippe et les diverses menaces biologiques.

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