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Focus Graphite Inc V.FMS.WT


Primary Symbol: V.FMS Alternate Symbol(s):  FCSMF

Focus Graphite Inc. is a Canada-based advanced exploration company. The Company is engaged in the exploration and development of deposits of flake graphite located in Quebec, Canada. Its projects are Lac Knife and Lac Tetepisca projects. Lac Knife project is a high-grade crystalline flake graphite deposit located in northeastern Quebec, approximately 27 kilometers (km) south of Fermont. The property consists of approximately 57 mining claims covering 29,863 hectares. Lac Tetepisca project comprises two properties, Lac Tetepisca and Lac Tetepisca Nord. These properties are located in the Southwest Manicouagan reservoir area of the Cote-Nord region of Quebec, approximately 234 km north-northwest of the city of Baie-Comeau, an industrial city located where the Manicouagan River intersects the north shore of St. Lawrence River in the Cote-Nord, Quebec. Its properties form a block of approximately 115 claims, covering 6,000 hectares within the Manicouagan-Ouest Graphitic Corridor.


TSXV:FMS - Post by User

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Post by clearsuddenon May 14, 2018 8:36pm
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Post# 28029939

hydro Quebec in the news with battery tech

hydro Quebec in the news with battery tech

Le gnie qubcois qui fait rver Hydro

Charles Lecavalier | Agence QMI 

- Mis jour 

 Pierre-Paul Poulin / Agence QMIHydro-Qubec veut se lancer dans la production de batteries fabriques au Qubec et rve d’une chane de production alimente 100 % par les mines qubcoises.

«Dans les prochains cinq ans, je pense qu’on peut https://www.tvanouvelles.ca/2018/05/14/le-genie-quebecois-qui-fait-rever-hydro

avoir une usine de construction de batteries, avec toute la chane de production au Qubec», lance Karim Zaghib, directeur gnral du Centre d’excellence en lectrification des transports et stockage d’nergie, en entrevue avec notre Bureau parlementaire. Ces piles pourraient se retrouver dans des automobiles, des tlphones ou des ordinateurs par exemple.

M. Zaghib uvre depuis deux dce
nnies au sein d’Hydro-Qubec.

Les succs de son laboratoire se mesurent en espce sonnante et trbuchante: le centre a rcolt 110 millions $ depuis 2011 en redevance sur les brevets. Et selon M. Zaghib, l’aventure sera de plus en plus payante.

partir de 2022, M. Zaghib prvoit qu’il rapportera prs de 100 millions $ par anne grce la batterie solide, une nouvelle technologie prometteuse.

Chercheur renomm, ce gnie des batteries a t nomm trois fois parmi les scientifiques les plus influents du monde, selon un palmars indpendant. Il envisage maintenant un partenariat entre Hydro-Qubec et une entreprise prive pour produire des batteries.

Le rve de M. Zaghib

«C’est mon rve, depuis 23 ans. Au Qubec, on a du lithium, du nickel, du cobalt, du cuivre. Au lieu de vendre les minerais ailleurs, on peut faire la transformation de la mine la batterie ici», confie-t-il au Journal. La premire tape pour Hydro-Qubec serait de se lancer dans la production de composantes. Mais une chose est claire, pour le chercheur, la socit d’tat ne doit plus se contenter de vendre ses brevets: «On veut commercialiser.»

Ce rve a dj paru bien lointain. Il y a 20 ans, la haute direction de la socit d’tat a tent d’liminer le projet de batterie.

«En 1999, ils ont dit, vous tes rveur, on arrte tout. Bien, moi, je n’ai pas arrt», dit-il en riant. l’poque, il n’avait que deux collaborateurs, Abdelbast Guerfi et Patrick Charest.

Il est aujourd’hui la tte d’un centre de recherche de 75 personnes qui ralise des contrats pour l’arme amricaine (voir autre texte), le dpartement amricain de l’nergie ou pour l’Union europenne.

«Au centre d’excellence, on a depuis longtemps la culture d’aller chercher du financement l’externe et de vendre des licences l’externe», explique-t-il.

Les portes du Tokamak

Le laboratoire de Karim Zaghib se cache dans les entrailles du Tokamak de Varenne, un miniracteur qui servait tudier la production d’nergie par fusion nuclaire.

L’aventure scientifique du Tokamak a t abandonne la fin des annes 1990. Aujourd’hui, lorsqu’on passe les portes massives d’acier inoxydable de 10 mtres de hauteur sur 5 mtres de large et de prs de 50 centimtres d’paisseur qui sparaient les chercheurs d’un plasma de 10 millions de degrs Celsius, on tombe sur une unit de production de prototypes de piles.

«J’y vois un symbole de la volont d’Hydro-Qubec de toujours continuer faire de la recherche. J’ai gard les portes, les lumires d’alertes et plusieurs quipements qui taient rests ici. Peut-tre qu’un jour on pourra en faire un muse», lance-t-il.

L’imposant btiment est toujours utile l’quipe de Karim Zaghib. Au sous-sol, qu’on surnomme le «bunker», une salle en bton arm permet de faire des tests de scurit sur les piles: feu, choc et mme chute d’une dizaine de mtres.

Des batteries payantes pour Hydro

Hydro Qubec dtient 748 brevets pour des piles lectriques.

246 sont prsentement licencis, c’est--dire prts une entreprise.

De 2011 2017, ces brevets ont gnr 170 millions $ en revenu.

Au net, Hydro-Qubec a rcolt 110 millions $ durant cette priode.

La socit d’tat a commenc tudier les batteries en 1979.

«Nous sommes des pionniers», dit Karim Zaghib.

Hydro-Qubec la conqute de l’Afrique

Le centre d’expertise teste actuellement des modules constitus d’une srie de batteries qui se rangent dans un conteneur facilement dplaable: ces piles gantes seront testes dans les rseaux autonomes des villages nordiques loigns du Qubec. Elles permettront d’assurer un systme lectrique constant, dans un contexte d’alimentation en nergie non continue, comme avec le solaire et l’olien. L’objectif de HQ est toutefois plus ambitieux.

«On pourra le commercialiser en Asie et en Afrique, o beaucoup de villages n’ont tout simplement pas de rseau lectrique pour l’instant. C’est a l’objectif», explique Karim Zaghib. Le cellulaire s’est rapidement impos sur le continent africain, car le systme filaire tait quasi inexistant, note M. Zaghib. De la mme faon, le stockage grande chelle et la production d’nergie solaire pourraient exploser d’ici cinq ans.

En guerre contre les pirates informatiques

Le centre d’expertise se mfie des voleurs de secret industriel, et a de nombreux dmls commerciaux avec la Chine.

«On a de gros gros gros problmes en Chine cause de la proprit intellectuelle. La Chine ne respecte pas la proprit intellectuelle, et a fait des annes que a dure», dplore Karim Zaghib.

«On a de l’or, tout le monde veut y toucher», ajoute-t-il. C’est sans compter les pirates qui vont tenter de voler des secrets industriels. «a existe, et je peux dire une chose: on est trs trs sensible a.» Les mesures de scurit sont svres et le chercheur prche par l’exemple. l’tranger, il ne laisse jamais son ordinateur dans sa chambre d’htel et trane tous ses effets personnels sur lui. Il n’accepte jamais les cls USB promotionnelles et utilise un tlphone de voyage qui ne lui sert qu’ parler avec sa famille.

La pile solide de HQ va rvolutionner l’industrie

Hydro-Qubec a une arme secrte dans son laboratoire de Varenne: une pile solide, plus lgre, plus scuritaire et moins coteuse produire que la batterie lithium-ion que l’on retrouve pour l’instant sur le march. «On a une longueur d’avance de cinq ans sur tout le monde: les Amricains, les Japonais, les Chinois, on peut le dire avec fiert», lance Karim Zaghib.

«Une batterie lithium-ion, ce n’est pas totalement scuritaire. Vous avez les tlphones qui prennent feu. Un coup, un accident et a peut prendre feu. Les batteries solides sont trs scuritaires, plus lgres et moins volumineuses», note le chercheur.

La production de piles cote 242 $ le kWh actuellement, selon le dpartement amricain de l’nergie. En 2023, HQ estime que sa technologie sera prte tre commercialise et pourra tre produite 100 $ le kWh. «Le prix mondial des autos lectriques va diminuer grce notre technologie», pense M. Zaghib. ce prix, note le chercheur, l’existence de la voiture essence sera vritablement remise en question.

Un gros contrat avec l’arme amricaine

Hydro-Qubec a dvelopp pour le compte de l’arme amricaine une batterie lithium-ion miniaturise trs haut voltage.

Les montants en jeu sont confidentiels, mais l’aventure risque d’tre trs profitable pour la socit d’tat.

«Ils n’ont trouv aucune compagnie amricaine pour le faire, alors ils sont venus nous voir. C’est un trs bon modle. Ils arrivent et nous disent: on a un problme, a ne fonctionne pas. Pouvez-vous nous aider ? On va vous donner de l’argent. Nous, on cre des emplois au Qubec pour les civils, et, la fin, on partage 50/50 les dividendes si on commercialise», explique Karim Zaghib.

 

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