Restart of exploitation at HaldimandI will translate this October 16 article from Le Soleil which pertains to JNX which hasn't been covered in other news release:
André Proulx president of Pétrolia and Junex both rejoice at the restart of the works at the Haldimand oil well. (ownership of this well: 45%: Pétrolia, 45%: Junex and 10% Gastem)
They will have to wait until the spring before being able to ship the petroleum to the Ultramar refinery at Saint-Romuald.
They need 6 million to restart the operation which will be split (ie: PEA: 2.5 million, JNX: 2.5 million and GMR: 1 million). They have to do new sismic test and will drill a second hole to determine the capacity of this well.
During it's short production in the the spring 2006, it produced 34 barils per day. It is small for the supplying of a refinery, but it is larger than the common well in Alberta.
The rest is on Pétrolia which intends to pursue it's activity where it detains 10,000 square/kilometors of right in the Gaspesian peninsula.
Junex doesn't intend to sell its share of Pétrolia.
Le mardi 16 octobre 2007
Puits Haldimand, à Gaspé : reprise de l’exploitation
Gilles Gagné
Le Soleil
Collaboration spéciale
Carleton
La vente par la firme rimouskoise Pétrolia de trois millions d’actions à un groupe suisse, Pilatus Energy, ouvre la voie aux travaux qui déboucheront sur une reprise de l’exploitation du puits Haldimand, à Gaspé.
En attendant le dénouement complet de l’émission d’actions, le président de Pétrolia, André Proulx, et les dirigeants de son partenaire principal pour le développement du puits Haldimand, Junex, se réjouissent de l’imminence de la reprise des travaux de ce gisement situé à Gaspé. Pétrolia et Junex contrôlent 45 % du puits, tandis qu’un troisième partenaire, Gastem, y possède un intérêt de 10 %.
Il faudra sans doute attendre jusqu’au printemps avant que le pétrole brut léger soit de nouveau acheminé à la raffinerie d’Ultramar à Saint-Romuald.
« Nous avons besoin de 6 millions $ de travaux pour reprendre la production. Pétrolia devrait débourser 2,5 millions $, tout comme Junex (Gastem devrait investir 1 million $). Il faut faire des levées séismiques et forer un deuxième puits, afin de vérifier la capacité du gisement », a précisé au Soleil le président de Pétrolia, André Proulx.
Lors de sa courte période d’exploitation au printemps 2006, le puits Haldimand a produit une moyenne de 34 barils par jour. C’est peu, par rapport à l’approvisionnement d’une raffinerie, « mais c’est plus que le puits moyen exploité en Alberta », signale M. Proulx.
Pétrolia ne manque pas de projets pour le solde de capitaux qui seront dégagés par l’émission d’actions. Ces blocs d’actions sont vendus à la suite d’une invitation lancée à un certain nombre de firmes du milieu de l’énergie. Une fois la dossier Haldimand réglé, il restera entre 6,5 millions $ et 15,5 millions $ disponibles.
«Nous détenons les droits sur des propriétés importantes, dont celles tout autour de Haldimand. Le nerf de la guerre, comme dans le secteur minier, c’est de réaliser qu’à proximité d’un puits de pétrole, il y en a généralement un autre », dit M. Proulx.
Pétrolia détient des droits d’exploration sur une surface de 10 000 kilomètres carrés en Gaspésie. C’est 13 % de tous les droits d’exploration au Québec.
Le porte-parole de Junex, Dave Pépin, se réjouit de l’entrée de capitaux chez Pétrolia, parce qu’elle facilitera le développement du puits Haldimand. Junex, qui détenait jusqu’à récemment 10,7 % des actions de Pétrolia, verra sa participation diminuer à 7,6 % si les neuf millions d’actions de la firme rimouskoise trouvent preneurs. M. Pépin signale que Junex n’a pas l’intention de vendre ses actions dans Pétrolia.
Le mardi 16 octobre 2007
Puits Haldimand, à Gaspé : reprise de l’exploitation
Gilles Gagné
Le Soleil
Collaboration spéciale
Carleton
La vente par la firme rimouskoise Pétrolia de trois millions d’actions à un groupe suisse, Pilatus Energy, ouvre la voie aux travaux qui déboucheront sur une reprise de l’exploitation du puits Haldimand, à Gaspé.
En attendant le dénouement complet de l’émission d’actions, le président de Pétrolia, André Proulx, et les dirigeants de son partenaire principal pour le développement du puits Haldimand, Junex, se réjouissent de l’imminence de la reprise des travaux de ce gisement situé à Gaspé. Pétrolia et Junex contrôlent 45 % du puits, tandis qu’un troisième partenaire, Gastem, y possède un intérêt de 10 %.
Il faudra sans doute attendre jusqu’au printemps avant que le pétrole brut léger soit de nouveau acheminé à la raffinerie d’Ultramar à Saint-Romuald.
« Nous avons besoin de 6 millions $ de travaux pour reprendre la production. Pétrolia devrait débourser 2,5 millions $, tout comme Junex (Gastem devrait investir 1 million $). Il faut faire des levées séismiques et forer un deuxième puits, afin de vérifier la capacité du gisement », a précisé au Soleil le président de Pétrolia, André Proulx.
Lors de sa courte période d’exploitation au printemps 2006, le puits Haldimand a produit une moyenne de 34 barils par jour. C’est peu, par rapport à l’approvisionnement d’une raffinerie, « mais c’est plus que le puits moyen exploité en Alberta », signale M. Proulx.
Pétrolia ne manque pas de projets pour le solde de capitaux qui seront dégagés par l’émission d’actions. Ces blocs d’actions sont vendus à la suite d’une invitation lancée à un certain nombre de firmes du milieu de l’énergie. Une fois la dossier Haldimand réglé, il restera entre 6,5 millions $ et 15,5 millions $ disponibles.
«Nous détenons les droits sur des propriétés importantes, dont celles tout autour de Haldimand. Le nerf de la guerre, comme dans le secteur minier, c’est de réaliser qu’à proximité d’un puits de pétrole, il y en a généralement un autre », dit M. Proulx.
Pétrolia détient des droits d’exploration sur une surface de 10 000 kilomètres carrés en Gaspésie. C’est 13 % de tous les droits d’exploration au Québec.
Le porte-parole de Junex, Dave Pépin, se réjouit de l’entrée de capitaux chez Pétrolia, parce qu’elle facilitera le développement du puits Haldimand. Junex, qui détenait jusqu’à récemment 10,7 % des actions de Pétrolia, verra sa participation diminuer à 7,6 % si les neuf millions d’actions de la firme rimouskoise trouvent preneurs. M. Pépin signale que Junex n’a pas l’intention de vendre ses actions dans Pétrolia.
Le mercredi 17 octobre 2007
Junex découvre du pétrole à Paspébiac
Gilles Gagné
Le Soleil
Collaboration spéciale
Paspébiac
Deux semaines après avoir trouvé du gaz, la firme Junex a découvert du pétrole à son puits de Paspébiac, en Gaspésie. Il s’agit de la première découverte d’hydrocarbures dans le bassin de la baie des Chaleurs.
Alors que le gaz avait été localisé à une profondeur de 1395 mètres, le pétrole brut léger a été vu alors que la foreuse atteignait 1630 mètres. Il y en avait encore à 1800 mètres. Sa présence est suffisante pour que Junex demande à une firme du Texas ayant une filiale à Calgary, Baker Oil Tools, d’effectuer des essais de production pour vérifier si le puits peut fournir un débit commercial.
« Ça signifie que notre modèle (géologique) tient à route. À 1800 mètres, nous étions encore dans les sédiments, c’est-à-dire le type de roches poreuses qui forment un réservoir d’hydrocarbures », signale le président de Junex, Jean-Yves Lavoie, agréablement surpris de voir qu’un premier forage dans la formation de la baie des Chaleurs donne des résultats positifs.
Junex a stoppé son forage de Paspébiac à 1800 mètres parce que l’axe des tiges de métal enfoncées dans le sol présentait une déviation de 37 degrés, une situation pouvant occasionner un bris de ces tiges et compliquer leur récupération.
M. Lavoie croit que la zone sédimentaire de Paspébiac présente une profondeur de 3000 mètres, peut-être plus. « Si c’est le cas, il faudra planifier un programme d’intervention plus musclé; ça prend des sous, entre 10 millions et 20 millions $ pour aller à ces profondeurs. Il faudra décider entre s’associer à un joueur plus gros ou amasser le finanement nous-même », dit-il.
Les essais de production procureront d’autres éléments de décision pour les administrateurs de Junex au cours de l’hiver. En introduisant des tiges vides dans le puits foré depuis juillet par Junex, Baker Oil se livrera à des mesures de pression afin d’évaluer si le gisement peut fournir bientôt une quantité susceptible d’être raffinée.
Une pression trop faible ne sonnerait pas le glas du puits de Paspébiac puisqu’il reste d’autres façons d’évaluer son potentiel. Les travaux de Baker Oil s’élèvent à 150 000 $, environ 10 % de ce qu’a investi Junex à cet endroit en 2007.