Area at risk?VST is still speculative because they have not proven anything yet even if the chances of finding OIL are great. Some say that it is an area at risk, but this is false because it is a territory that has been protected by the U.S. Army during the war and more Iraqis have needs for their economy.
The only problem that exists at this moment is the political side between Baghdad and Kurdistan to who has the last word to capitalize on oil wealth. The Kurds wanted independence under Saddam, but now there is more that is no longer a priority.
Kurds and Arabs have to keep quiet, because after all the U.S. military is still there in case of problems. All these problems about OIL should be resolved with political arrangements
"The Kurdistan Region is Iraq's safest countries, the latest attacks dating back to 2003. The security situation in the region is different from the rest of Iraq. While fewer than 1000 U.S. soldiers cover the region, a total of 50 000 men scattered across the country
Here, U.S. forces have instead given way to private security companies and security, including - including in oil. Another business was then installed, after the first occupation of the Americans in 2003 fall of Saddam Hussein"
Rétrospectivement, il est clair que la seule occasion où les Kurdes auraient peut-être pu satisfaire leur ambition ultime était juste après l'invasion américaine en 2003. Mais il leur aurait fallu pour cela défier leur seul allié, les États-Unis, un risque que ni Barzani ni Talabani n'étaient prêts à courir.
Craignant un conflit avec les Américains, ils n'ont pas pris Kirkouk et assuré ainsi une écrasante majorité kurde là-bas lorsqu'ils étaient en mesure de le faire militairement. Craignant une invasion turque, ils n'ont pas osé déclarer leur indépendance. Et aujourd'hui, ils ne le peuvent pas non plus, parce que l'Irak a de nouveau une armée qui fonctionne et que le budget du Kurdistan dépend entièrement des revenus du pétrole envoyés au Nord par le gouvernement de Bagdad.
Ce n'est pas nécessairement une tragédie. Un Kurdistan prospère et laïc, ayant sa propre langue et ses propres institutions, au sein d'un Irak majoritairement arabe, moins démocratique et plus théocratique, mais qui lui accorderait une juste part de ses revenus pétroliers et laisserait la minorité kurde tranquille, irait déjà au-delà des rêves les plus fous des générations kurdes précédentes.
C'est un rêve encore à portée de main, à condition de régler la question sensible de Kirkouk. Et nul besoin des Talabani et des Barzani pour cela