Join today and have your say! It’s FREE!

Become a member today, It's free!

We will not release or resell your information to third parties without your permission.
Please Try Again
{{ error }}
By providing my email, I consent to receiving investment related electronic messages from Stockhouse.

or

Sign In

Please Try Again
{{ error }}
Password Hint : {{passwordHint}}
Forgot Password?

or

Please Try Again {{ error }}

Send my password

SUCCESS
An email was sent with password retrieval instructions. Please go to the link in the email message to retrieve your password.

Become a member today, It's free!

We will not release or resell your information to third parties without your permission.

Bombardier Inc. T.BBD.A

Alternate Symbol(s):  BDRPF | T.BBD.PR.B | BDRXF | T.BBD.PR.C | T.BBD.PR.D | BOMBF | BDRAF | T.BBD.B | BDRBF

Bombardier Inc. is a Canada-based manufacturer of business aircraft with a global network of service centers. The Company is focused on designing, manufacturing and servicing business jets. The Company has a worldwide fleet of more than 5,000 aircraft in service with a variety of multinational corporations, charter and fractional ownership providers, governments and private individuals. It operates aerostructure, assembly and completion facilities in Canada, the United States and Mexico. Its robust customer support network services the Learjet, Challenger and Global families of aircraft, and includes facilities in strategic locations in the United States and Canada, as well as in the United Kingdom, Germany, France, Switzerland, Austria, the United Arab Emirates, Singapore, China and Australia. The Company's jets include Challenger 350, Challenger 3500, Challenger 650, Global 5500, Global 6500, Global 7500 and Global 8000.


TSX:BBD.A - Post by User

Comment by Shamhorishon Jun 05, 2024 9:37pm
167 Views
Post# 36074351

RE:RE:RE:Improvisation au Canada selon Éric Martel (La Presse)

RE:RE:RE:Improvisation au Canada selon Éric Martel (La Presse)

Soutien l’industrie Chez nous, on improvise un peu », dit le patron de Bombardier

Deux semaines aprs avoir critiqu l’enthousiasme des gouvernements accueillir Boeing au Qubec, Bombardier en rajoute et affirme qu’Ottawa « improvise » dans sa faon d’pauler l’industrie arospatiale.

 

Julien Arsenault

  •  

nvit commenter l’approche du gouvernement fdral l’endroit du secteur, mercredi, le prsident et chef de la direction du constructeur de jets privs n’a pas mch ses mots.

« Je suis le PDG de l’une des plus grandes entreprises aronautiques manufacturires au Canada et je ne l’ai pas vue, la stratgie, s’il y en a une, a-t-il lanc, devant la Chambre de commerce du Montral mtropolitain (CCMM). Je ne l’ai pas vue. J’en ai entendu parler, mais j’aimerais a la lire. »

M. Martel rpondait une question du prsident et chef de la direction de la Chambre, Michel Leblanc. Il ne s’est pas adress aux journalistes prsents sur place au terme de l’vnement organis au centre-ville de Montral par la tribune d’affaires.

Le grand patron de l’avionneur qubcois estime qu’Ottawa devrait s’inspirer de ce qui se passe au sud de la frontire. son avis, le gouvernement amricain trouve le moyen de stimuler l’innovation chez ses champions locaux en leur accordant des contrats, ce qui permet de financer des avances technologiques qui peuvent ensuite tre exportes aux quatre coins du monde.

« Chez nous, on improvise un peu », a ajout M. Martel.

Sans surprise, ce dernier a fait rfrence au contrat de gr gr de 5,4 milliards dcroch par Boeing pour remplacer les avions de surveillance vieillissants de l’Aviation royale canadienne (ARC).

Ce dossier avait pris une tournure politique puisque Bombardier avait dploy, pendant des mois, des efforts considrables pour rclamer un appel d’offres en bonne et due forme afin de proposer une version militarise de son Global 6500. Malgr la mdiatisation du dossier, le gouvernement Trudeau avait nanmoins dcid d’accorder un contrat sans appel d’offres au constructeur amricain.

Il y a des choses, comme cela, pour lesquelles on aurait intrt avoir un plan plus long terme pour comprendre o l’on s’en va tout le monde ensemble et crer un certain alignement de toute l’industrie.

 ric Martel, PDG de Bombardier

Meilleure coute

Le dirigeant de Bombardier croit que les grands acteurs de l’industrie canadienne devraient tre consults davantage par les dcideurs. En voquant de « gros enjeux de main-d’uvre » venir, M. Martel a soulign que le constructeur d’avions d’affaires s’attend voir jusqu’ 5000 de ses employs – des travailleurs d’usine, des techniciens et des ingnieurs – partir pour la retraite au cours des sept prochaines annes.

En dpit des besoins, les coles de formation sont loin d’tre pleines, dit M. Martel.

« On a besoin que nos gouvernements voient cela et que l’on travaille remplir les coles parce que les emplois vont tre l. »

M. Martel s’est rjoui de la cration d’une zone d’innovation arospatiale au Qubec, mais cela n’avait pas empch Bombardier de s’tonner du traitement rserv Boeing il y a deux semaines.

Le gant amricain avait dvoil des investissements de 275 millions au Qubec, dont 110 millions injects dans la zone d’innovation afin de financer la mise en place d’un centre de recherche et d’innovation. Boeing n’a pas t directement finance par Qubec et Ottawa, mais elle bnficiera de l’expertise qubcoise.

En ragissant aux annonces, Bombardier avait rappel que la multinationale amricaine avait « rcemment mis risque l’industrie aronautique au Qubec » lorsqu’elle avait intent des recours aux tats-Unis afin d’obtenir temporairement des tarifs douaniers de 300 % sur les appareils de la C Series assembls Mirabel.

Sans le nommer, M. Martel a profit de son passage la CCMM pour rpliquer de rcents commentaires du ministre fdral de l’Industrie, des Sciences et de l’Innovation, Franois-Philippe Champagne.

« J’entendais un ministre dire que Bombardier ne reprsente pas elle seule l’aronautique, a expliqu le gestionnaire. Je suis d’accord, mais en mme temps, on reprsente 40 % des revenus de l’aronautique au pays. C’est vrai que nous ne sommes pas tout seuls, mais en mme temps, je pense que nous sommes un incontournable. On devrait tre la table et [participer aux] conversations. »

Une autre bonne note

Bombardier a par ailleurs reu des nouvelles encourageantes de Standard & Poor’s, l’une des principales agences de notation. Elle a relev la cote de crdit de la multinationale qubcoise, qui passe B+. Une amlioration de la note de crdit se traduit gnralement par une diminution de ses cots d’emprunt.

Dans son analyse, l’agence new-yorkaise a soulign les progrs de l’avionneur en matire de dsendettement. Moody’s avait galement rvis la hausse la note de crdit de Bombardier en mai dernier.

 

Les investisseurs n’ont toutefois pas sembl surpris par la dcision de Standard & Poor’s. la Bourse de Toronto, mercredi, l’action de l’entreprise a cltur 90,61 $, en hausse de 64 cents, ou 0,7 %.

 












<< Previous
Bullboard Posts
Next >>